Arrival (2016)
- Réalisateur
- Denis Villeneuve
- Acteurs
- Amy Adams, Jeremy Renner et Forest Whitaker
- Durée
- 1h56
- IMDB
- 7.9 (660k)
- Meta / Rotten
- 81 / 94
- Note perso
- 6
- Pays
- United States et Canada
- Genres
- Drama et Sci-Fi
- Récompenses
- Won 1 Oscar. 69 wins & 269 nominations total
Scénario : A linguist works with the military to communicate with alien lifeforms after twelve mysterious spacecraft appear around the world.
L’humanité a eu son premier contact avec des extraterrestres, mais on ne comprend rien à leur langue. L’héroïne, une experte en linguistique, est envoyée les rencontrer, avec une équipe. Ils découvrent qu’ils peuvent communiquer par l’écrit, et progressent. L’un des messages n’est pas clair, et indique que les extraterrestres sont là pour un échange/don d’armes. Les différents pays de la planète sont en émoi ; l’héroïne se son côté pense que la phrase peut se comprendre comme une offre d’outils. L’armée attaque les extraterrestres et blessent un extraterrestre. L’équipier de l’héroïne comprend que les messages parlent du temps. Certains pays, menés par la Chine, veulent en découdre avec les extraterrestres. L’autre extraterrestre se met à communiquer avec l’héroïne par la pensée, elle comprend que grâce à lui elle voit le futur. Elle comprend que c’est leur langue qui permet de voir le futur, et qu’elle a acquis cette capacité à leur contact, car la langue influe la représentation qu’on a du monde. Les extraterrestres sont là car dans quelques millénaires ils auront besoin de notre aide. Elle apprend grâce à une vision qu’elle doit contacter un général chinois et lui dire une phrase, ce qu’elle fait ; les chinois se retirent alors immédiatement. Les différents pays se mettent alors à collaborer et tout finit bien. Durant le film on a aussi quelques flashforward, dont on comprend à la fin qu’ils nous annoncent que l’héroïne épousera son collègue, qu’ils auront une enfant, et qu’elle mourra jeune. De la hard SF intéressante mais franchement tirée par les cheveux. Que la langue influe notre vision du monde, sans doute, mais que ce soit au point de permettre de déformer l’espace-temps, hein… Ça et le message subtil de américains = gentils, chinois = méchants… 13/20