Barton Fink (1991)
- Réalisateurs
- Joel Coen et Ethan Coen
- Acteurs
- John Turturro, John Goodman et Judy Davis
- Durée
- 1h56
- IMDB
- 7.7 (119k)
- Meta / Rotten
- 69 / 90
- Note perso
- 7
- Pays
- United Kingdom et United States
- Genres
- Comedy, Drama et Thriller
- Récompenses
- Nominated for 3 Oscars. 19 wins & 30 nominations total
Scénario : A renowned New York playwright is enticed to California to write for the movies and discovers the hellish truth of Hollywood.
Barton Fink est un écrivain à succès dont la dernière pièce fait un tabac à Broadway. On lui offre un poste de scénariste à Hollywood, où il est accueilli par le président d’une compagnie, qui semble vénérer les scénaristes. Il vit dans un hôtel miteux. Il rencontre son voisin de pallier, un commerçant un peu rustre, mais avec lequel il se lie d’amitié. Il rencontre un grand scénariste mais découvrira que c’est sa femme qui fait la totalité de son travail. Il couchera avec elle, mais la retrouve morte dans son lit le lendemain matin. Il préviendra son ami, qui l’aide. En attendant, il n’a trouvé aucune idée pour son film de catch (ou boxe ?). Il ment au président de la chaine en lui disant qu’il est incapable de parler d’un scénario qui n’est pas encore fini. Il rencontre des policiers, qui lui apprennent que son ami est un tueur en série, mais il ne leur donne que des informations inutiles à son sujet, alors qu’il est supposément parti en voyage d’affaires (et lui a donné une boite avant de partir, dont on ne connaitra jamais le contenu). Se basant sur ses expériences récentes il parvient à écrire un scénario qu’il juge excellent, mais le président le trouve minable et s’énerve. Je sais plus exactement comment ça fini, il me semble qu’il se retrouve déprimé chez lui, rencontre encore son gros voisin, qui tue un policier. Un film des frères Cohen. Les spectateurs ont émis plusieurs hypothèses sur le gros voisin. Il pourrait être le diable, ou l’écrivain pourrait avoir une double personnalité. Tout cela parce que le film n’explique jamais clairement le meurtre de la femme. 14/20